Extrait du livre « Freedom and resolve »
de Gangaji
de Gangaji
Traduction : Isabelle Padovani
Si la flèche de la vérité vous a transpercé et que vous le savez, si vous avez eu cette expérience, alors vous connaissez aussi les pensées arrogantes qui peuvent survenir : « Et bien, je sais que je suis un avec la vérité, alors qui est là pour rester éveillé ? »
Vous vous êtes probablement dit cela, n’est-ce pas ?
Et tout d’un coup, il y a souffrance à nouveau et on gémit :
« Je l’ai perdu ! Comment ça a pu arriver ? ».
La perception et l’expérience de perdre ce qui ne peut être perdu est rectifiée par la vigilance.
Je ne parle pas d’effort.
Je ne parle pas d’exercer de la vigilance.
Je parle d’être vigilance et de reconnaître qu’il est naturel d’être cela.
Vous êtes pure conscience.
La conscience est naturellement vigilante.
Elle est vigilante à elle-même, et elle est toujours, en vérité, consciente d’elle-même.
Quand le corps est dans le sommeil profond, et qu’il n’y a pas de points de référence, pas d’impressions venant des sens, pas de perception du corps ou d’aucun objet qu’il soit mental, émotionnel ou physique, demeure toujours une conscience consciente d’elle-même, et ceci est béatitude. C’est la béatitude du sommeil profond.
Quand le corps se réveille et que les objets réapparaissent à votre vue, vous savez toujours qu’il y a eu sommeil profond, expérience sans objet.
Vous n’en avez aucune impression sensorielle, mais vous le connaissez parce que la conscience d’elle-même est toujours présente.
Tandis que les objets apparaissent, notre conditionnement est de nous fixer sur les objets et d’ignorer le profond nourrissement qui est toujours présent.
La vigilance est la conscience de qui ne disparaît pas même quand les objets apparaissent.
Que ces objets soient exquis, horribles, ou quelconque, demeure toujours cette conscience consciente d’elle-même.
Que les objets soient émotionnels, mentaux ou physique, demeure toujours cette conscience consciente d’elle-même.
Vous vous êtes probablement dit cela, n’est-ce pas ?
Et tout d’un coup, il y a souffrance à nouveau et on gémit :
« Je l’ai perdu ! Comment ça a pu arriver ? ».
La perception et l’expérience de perdre ce qui ne peut être perdu est rectifiée par la vigilance.
Je ne parle pas d’effort.
Je ne parle pas d’exercer de la vigilance.
Je parle d’être vigilance et de reconnaître qu’il est naturel d’être cela.
Vous êtes pure conscience.
La conscience est naturellement vigilante.
Elle est vigilante à elle-même, et elle est toujours, en vérité, consciente d’elle-même.
Quand le corps est dans le sommeil profond, et qu’il n’y a pas de points de référence, pas d’impressions venant des sens, pas de perception du corps ou d’aucun objet qu’il soit mental, émotionnel ou physique, demeure toujours une conscience consciente d’elle-même, et ceci est béatitude. C’est la béatitude du sommeil profond.
Quand le corps se réveille et que les objets réapparaissent à votre vue, vous savez toujours qu’il y a eu sommeil profond, expérience sans objet.
Vous n’en avez aucune impression sensorielle, mais vous le connaissez parce que la conscience d’elle-même est toujours présente.
Tandis que les objets apparaissent, notre conditionnement est de nous fixer sur les objets et d’ignorer le profond nourrissement qui est toujours présent.
La vigilance est la conscience de qui ne disparaît pas même quand les objets apparaissent.
Que ces objets soient exquis, horribles, ou quelconque, demeure toujours cette conscience consciente d’elle-même.
Que les objets soient émotionnels, mentaux ou physique, demeure toujours cette conscience consciente d’elle-même.