Extrait du livre « Freedom and resolve » de Gangaji
Traduction : Isabelle Padovani
Après des éons à choisir de raconter une histoire de séparation de Dieu, l’histoire semble sans choix. Elle semble sans choix, mais elle ne l’est pas. Vous avez simplement continué à choisir l’histoire qui vous a été transmise par vos ancêtres, par vos vies passées, par vos erreurs passées, par vos désirs passés.
Ce qui est sans choix est la vérité de qui vous êtes.
Le choix réside dans la capacité de l’esprit à dénier cette réalité ou à l’embrasser.
Ce choix relève du libre-arbitre – la liberté de choix. Vous n’avez aucun libre-arbitre au niveau de qui vous êtes. Vous êtes cela pleinement et complètement. Mais vous avez un libre-arbitre concernant les pouvoirs de l’esprit et de l’imagination. Vous pouvez jouer à faire comme si vous n’êtes pas qui vous êtes. Vous pouvez jouer à faire comme si vous l’êtes déjà, mais pas encore complètement. Vous pouvez jouer toutes les variations et permutations de choisir ou dénier être ce que vous êtes déjà.
Vous avez joué à ça pendant des éons. Finalement, une lassitude est apparue dans le jeu, car le jeu est limité. Par toutes ses expressions, par toutes ses beautés, par toutes ses douleurs, le jeu est limité car il est basé sur l’hypothèse que vous êtes quelque chose séparé de la Vérité, de la compréhension, de l’amour, de Dieu. Le jeu tout entier est basé sur l’hypothèse de la séparation, et l’hypothèse est rarement remise en question. L’hypothèse est considérée comme vraie, et à partir de cette croyance, le jeu devient très compliqué.
Je vous invite à voir qui est réellement en train de jouer.
Vous êtes naturellement conscience. Ce que nous appelons « Dieu » est conscience suprême. Vous êtes naturellement un avec Dieu. Vous êtes naturellement Vérité. Tout le reste est non naturel. Cela peut être normal, mais ce n’est pas naturel. Cela peut être habituel, mais ce n’est pas naturel. Le jeu même a son but, parce qu’avec la croyance en le jeu, et sa non-naturelle normalité, il y a une occasion de vous imaginer perdu, de faire l’expérience de la douleur et de la souffrance d’être perdu, d’être exclu, d’être séparé de Dieu. Puis de cette imagination, de ce jeu avec toutes ses douleurs, peut s’élever l’envie de la réunion avec la Vérité dans toutes ses gloires.
Si vous découvrez que vous prenez comme acquis la vérité que vous êtes conscience, que vous êtes un avec Dieu, que vous êtes Vérité, alors cette vérité que vous considérez comme acquise est une sorte de transe ou d’état de sommeil dans lequel vous imaginerez un jour que vous êtes séparé, que vous êtes perdu, et la quête recommencera à nouveau.
Dans l’invitation qui nous vient de Ramana (Maharshi), l’invitation à une interrogation personnelle directe, vous avez l’occasion de tourner votre attention vers qui est perdu, qui est séparé.
Vous ne trouverez personne. Personne n’est perdu. Celui qui est perdu a été fabriqué dans l’esprit pour commencer à jouer. Si votre résolution est d’enquêter intensément, fraîchement, complètement, de ne pas vous endormir en continuant à pratiquer la croyance basée sur l’hypothèse de la séparation, alors vous vous rencontrerez comme cette conscience même dans laquelle joueur, chercheur, séparation et union apparaissent et disparaissent.
Ce qui est sans choix est la vérité de qui vous êtes.
Le choix réside dans la capacité de l’esprit à dénier cette réalité ou à l’embrasser.
Ce choix relève du libre-arbitre – la liberté de choix. Vous n’avez aucun libre-arbitre au niveau de qui vous êtes. Vous êtes cela pleinement et complètement. Mais vous avez un libre-arbitre concernant les pouvoirs de l’esprit et de l’imagination. Vous pouvez jouer à faire comme si vous n’êtes pas qui vous êtes. Vous pouvez jouer à faire comme si vous l’êtes déjà, mais pas encore complètement. Vous pouvez jouer toutes les variations et permutations de choisir ou dénier être ce que vous êtes déjà.
Vous avez joué à ça pendant des éons. Finalement, une lassitude est apparue dans le jeu, car le jeu est limité. Par toutes ses expressions, par toutes ses beautés, par toutes ses douleurs, le jeu est limité car il est basé sur l’hypothèse que vous êtes quelque chose séparé de la Vérité, de la compréhension, de l’amour, de Dieu. Le jeu tout entier est basé sur l’hypothèse de la séparation, et l’hypothèse est rarement remise en question. L’hypothèse est considérée comme vraie, et à partir de cette croyance, le jeu devient très compliqué.
Je vous invite à voir qui est réellement en train de jouer.
Vous êtes naturellement conscience. Ce que nous appelons « Dieu » est conscience suprême. Vous êtes naturellement un avec Dieu. Vous êtes naturellement Vérité. Tout le reste est non naturel. Cela peut être normal, mais ce n’est pas naturel. Cela peut être habituel, mais ce n’est pas naturel. Le jeu même a son but, parce qu’avec la croyance en le jeu, et sa non-naturelle normalité, il y a une occasion de vous imaginer perdu, de faire l’expérience de la douleur et de la souffrance d’être perdu, d’être exclu, d’être séparé de Dieu. Puis de cette imagination, de ce jeu avec toutes ses douleurs, peut s’élever l’envie de la réunion avec la Vérité dans toutes ses gloires.
Si vous découvrez que vous prenez comme acquis la vérité que vous êtes conscience, que vous êtes un avec Dieu, que vous êtes Vérité, alors cette vérité que vous considérez comme acquise est une sorte de transe ou d’état de sommeil dans lequel vous imaginerez un jour que vous êtes séparé, que vous êtes perdu, et la quête recommencera à nouveau.
Dans l’invitation qui nous vient de Ramana (Maharshi), l’invitation à une interrogation personnelle directe, vous avez l’occasion de tourner votre attention vers qui est perdu, qui est séparé.
Vous ne trouverez personne. Personne n’est perdu. Celui qui est perdu a été fabriqué dans l’esprit pour commencer à jouer. Si votre résolution est d’enquêter intensément, fraîchement, complètement, de ne pas vous endormir en continuant à pratiquer la croyance basée sur l’hypothèse de la séparation, alors vous vous rencontrerez comme cette conscience même dans laquelle joueur, chercheur, séparation et union apparaissent et disparaissent.