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S’identifier à la conscience pure n’est pas tricher.
Ce n’est pas une dérobade spirituelle, ce n’est pas revendiquer quelque chose que vous n’avez pas gagné. C’est plutôt comme pénétrer dans le salon de votre maison. Il y a de nombreux indicateurs qui confirment votre identification à la conscience pure. Et s’il vous arrive de tomber amoureux de la conscience pure, vous trouverez encore davantage de confirmation.
De manière étonnante, une confirmation vient par le langage !
C’est très étonnant parce que le langage est souvent considéré comme un obstacle à l’expérience de la vérité. Mais quand vous êtes identifié à la conscience pure, le langage se transforme en fait en une confirmation de votre identification.
Par exemple, vous découvrez que tous les mots évoquent la conscience pure.
Les noms ne désignent pas des choses, mais la conscience pure parce que (a) la conscience pure est la nature de toutes choses, et, (b) la conscience pure est la seule chose que les mots indiquent réellement.
C’est tout ce qu’il est possible de désigner, on ne peut tout bonnement pas désigner autre chose. Les verbes expriment la conscience pure. Noms et pronoms eux aussi pointent directement vers la conscience pure.
Quand vous dite « je », il émerge de la conscience pure et renvoie à la conscience pure.
La pensée même de « je » pointe vers la conscience pure en disparaissant comme le font les pensées dans la conscience pure. Ce je n’est pas personnel. Ce n’est pas votre « je » ni celui de Greg. Nul peut avoir de « je » séparé puisqu’il est impossible de diviser la conscience pure.
Vous découvrez que personne n’a une relation plus directe à « je » que n’importe qui d’autre. En fait, vous, les autres et toutes choses sont ce principe de « je », qui est la conscience pure elle-même. Corps, frontières et divisions qui nous semblent normalement séparer une chose d’une autre sont cette même conscience pure, qui n’est autre que « je ».
Même les évènements apparemment douloureux ne sont pas autre chose que l’expérience pure, la conscience pure, le principe de « je ».
Ceci est la nature de l’expérience directe.
Libre, sans frontière, non divisée et tranquille.
Tout est ainsi.
S’identifier à la conscience pure n’est pas tricher.
Ce n’est pas une dérobade spirituelle, ce n’est pas revendiquer quelque chose que vous n’avez pas gagné. C’est plutôt comme pénétrer dans le salon de votre maison. Il y a de nombreux indicateurs qui confirment votre identification à la conscience pure. Et s’il vous arrive de tomber amoureux de la conscience pure, vous trouverez encore davantage de confirmation.
De manière étonnante, une confirmation vient par le langage !
C’est très étonnant parce que le langage est souvent considéré comme un obstacle à l’expérience de la vérité. Mais quand vous êtes identifié à la conscience pure, le langage se transforme en fait en une confirmation de votre identification.
Par exemple, vous découvrez que tous les mots évoquent la conscience pure.
Les noms ne désignent pas des choses, mais la conscience pure parce que (a) la conscience pure est la nature de toutes choses, et, (b) la conscience pure est la seule chose que les mots indiquent réellement.
C’est tout ce qu’il est possible de désigner, on ne peut tout bonnement pas désigner autre chose. Les verbes expriment la conscience pure. Noms et pronoms eux aussi pointent directement vers la conscience pure.
Quand vous dite « je », il émerge de la conscience pure et renvoie à la conscience pure.
La pensée même de « je » pointe vers la conscience pure en disparaissant comme le font les pensées dans la conscience pure. Ce je n’est pas personnel. Ce n’est pas votre « je » ni celui de Greg. Nul peut avoir de « je » séparé puisqu’il est impossible de diviser la conscience pure.
Vous découvrez que personne n’a une relation plus directe à « je » que n’importe qui d’autre. En fait, vous, les autres et toutes choses sont ce principe de « je », qui est la conscience pure elle-même. Corps, frontières et divisions qui nous semblent normalement séparer une chose d’une autre sont cette même conscience pure, qui n’est autre que « je ».
Même les évènements apparemment douloureux ne sont pas autre chose que l’expérience pure, la conscience pure, le principe de « je ».
Ceci est la nature de l’expérience directe.
Libre, sans frontière, non divisée et tranquille.
Tout est ainsi.