J’étais un homme qui se cachait. J’ai créé l’humour pour me connaître et m’aimer...
L’humour privilégie le pittoresque, le grotesque, l’inattendu. Il contient à la fois les sentiments du sublime et du ridicule. Il cherche non seulement à caricaturer un personnage ou une situation, mais surtout à accepter l’impuissance humaine face à un univers sinon hostile, du moins souvent incompréhensible.
Pour nous, adultes, passer du sérieux à « c’est « rieux » demande un lâcher-prise face à nos projets et à nos résistances du moment. Lâcher l’analyse rationnelle de la situation, rejoindre l’aspect ludique de la vie, voilà « l’apprenti-sage » de la paix intérieure libre du conflit.
Transformer une situation en ne se prenant pas au sérieux, c’est donc savoir observer et prendre du recul. Se faisant, la situation se dédramatise, le jugement se transforme en discernement et la culpabilité est remplacée par un sourire.
Là, on accepte les choses comme elles sont et surtout, on s’accepte comme on est, alors la tolérance et le pardon s’installent. Cela suppose donc non seulement un déplacement libérateur d’énergie, mais surtout le passage de l’humour à l’amour de soi.
Dans les relations humaines, l’humour est donc un moyen de connaissance et de communication. On peut, grâce à lui, faire passer des messages « autrement », dépasser sa fragilité, pallier la timidité, la pudeur, etc. Quand on rit, on n’a plus peur, alors se désamorcent le jugement et les émotions négatives, pour sourire avec tendresse de nos imperfections et de celles des autres.
L’humour, parce qu’il est porteur de transformation et de réconciliation, apparaît alors comme un exercice de conscience qui nous ouvre l’accès à un niveau plus élevé : celui de la libération.
Il devient une véritable dynamique consciente exercée par l’homme en adéquation avec son milieu, permet d’en vivre le sens et d’atteindre le spirituel, une vue supérieure de l’esprit, en même temps que l’humilité.
Des rencontres avec des Hommes de sagesse, m’ont offert l’occasion de reconnaître ces instants d’éternité où l’amour se transforme en rire, force libre où l’intelligence a démasqué la peur de l’inconnu que le mystère de la vie engendre.
Dès lors, l’humour devient l’allié du Sage qui n’a plus à expliquer, ni à convaincre mais reflète plutôt un comportement qui donne du sens à son rire, témoignant par là d’une transformation intérieure qui réintroduit la relativité des choses au sein d’une éthique « spirituelle ».
Et si nous étions sur cette terre pour aller vers la sagesse, nous réjouir, rire de nos paradoxes et accepter la leçon des choses de la vie sans nous prendre au sérieux ?
« Savez-vous marcher sur l’eau ? Vous n’avez rien fait de mieux qu’un fétu de paille. »
« Savez-vous voler dans les airs ? Vous n’avez rien fait de mieux qu’une mouche. »
Jouons avec notre rire alors nous serons tous « frères ».
Quand le rire gagne un groupe, les différences savent s’estomper.
L’humour unifie et efface les différences.
Accompagner la vie, vivre la fraternité et l’amour partagé, c’est aussi s’assurer que le rire ne s‘arrêtera jamais.
Alors, avons-nous le sens de l’humour, pouvons-nous rire de nous-mêmes ou est-ce que nous préférons rire des autres ? C’est une question « pour rire » que nous pouvons nous poser...
« Celui qui sait rire de lui-même n’a plus d’ennemis... »
L’humour privilégie le pittoresque, le grotesque, l’inattendu. Il contient à la fois les sentiments du sublime et du ridicule. Il cherche non seulement à caricaturer un personnage ou une situation, mais surtout à accepter l’impuissance humaine face à un univers sinon hostile, du moins souvent incompréhensible.
Pour nous, adultes, passer du sérieux à « c’est « rieux » demande un lâcher-prise face à nos projets et à nos résistances du moment. Lâcher l’analyse rationnelle de la situation, rejoindre l’aspect ludique de la vie, voilà « l’apprenti-sage » de la paix intérieure libre du conflit.
Transformer une situation en ne se prenant pas au sérieux, c’est donc savoir observer et prendre du recul. Se faisant, la situation se dédramatise, le jugement se transforme en discernement et la culpabilité est remplacée par un sourire.
Là, on accepte les choses comme elles sont et surtout, on s’accepte comme on est, alors la tolérance et le pardon s’installent. Cela suppose donc non seulement un déplacement libérateur d’énergie, mais surtout le passage de l’humour à l’amour de soi.
Dans les relations humaines, l’humour est donc un moyen de connaissance et de communication. On peut, grâce à lui, faire passer des messages « autrement », dépasser sa fragilité, pallier la timidité, la pudeur, etc. Quand on rit, on n’a plus peur, alors se désamorcent le jugement et les émotions négatives, pour sourire avec tendresse de nos imperfections et de celles des autres.
L’humour, parce qu’il est porteur de transformation et de réconciliation, apparaît alors comme un exercice de conscience qui nous ouvre l’accès à un niveau plus élevé : celui de la libération.
Il devient une véritable dynamique consciente exercée par l’homme en adéquation avec son milieu, permet d’en vivre le sens et d’atteindre le spirituel, une vue supérieure de l’esprit, en même temps que l’humilité.
Des rencontres avec des Hommes de sagesse, m’ont offert l’occasion de reconnaître ces instants d’éternité où l’amour se transforme en rire, force libre où l’intelligence a démasqué la peur de l’inconnu que le mystère de la vie engendre.
Dès lors, l’humour devient l’allié du Sage qui n’a plus à expliquer, ni à convaincre mais reflète plutôt un comportement qui donne du sens à son rire, témoignant par là d’une transformation intérieure qui réintroduit la relativité des choses au sein d’une éthique « spirituelle ».
Et si nous étions sur cette terre pour aller vers la sagesse, nous réjouir, rire de nos paradoxes et accepter la leçon des choses de la vie sans nous prendre au sérieux ?
« Savez-vous marcher sur l’eau ? Vous n’avez rien fait de mieux qu’un fétu de paille. »
« Savez-vous voler dans les airs ? Vous n’avez rien fait de mieux qu’une mouche. »
Jouons avec notre rire alors nous serons tous « frères ».
Quand le rire gagne un groupe, les différences savent s’estomper.
L’humour unifie et efface les différences.
Accompagner la vie, vivre la fraternité et l’amour partagé, c’est aussi s’assurer que le rire ne s‘arrêtera jamais.
Alors, avons-nous le sens de l’humour, pouvons-nous rire de nous-mêmes ou est-ce que nous préférons rire des autres ? C’est une question « pour rire » que nous pouvons nous poser...
« Celui qui sait rire de lui-même n’a plus d’ennemis... »